Sa famille est arrivée en Belgique suite à l’accord homme contre charbon de 1946, entre la Belgique et l’Italie, dont on fête ce mois de juin 2021 le 75ème anniversaire. Dans son Tout le Baz’Art, Frédéric François, le chanteur de charme aux 50 ans de carrière, aux millions de disques vendus, accueille Joëlle Scoriels chez lui, dans la région liégeoise, avec son chien Bella et son piano, dans la pièce où il compose ses ballades romantiques ; puis il l’emmène chez son cousin Lorenzo Barracato, pour une leçon de cuisine à l’italienne pleine d’amour et de soleil dans son restaurant de Grâce-Hollogne, Lo sfizio, en français, « caprice charnel » ! ; Lorenzo Ponzo, animateur de la radio des italiens de Liège, RadioHitalia, les y rejoint pour évoquer les origines siciliennes de « Fredo » comme il l’appelle, et son village natal, Lercara Freddi, qui lui a consacré de vivo un musée ; dans son studio, Didier Chapelle, son arrangeur, fait goûter à Joëlle les joies de la création musicale à la Frédéric François ; pour finir en chanson avec « Jamais sans toi », un des titres-phares de son dernier album « La liberté d’aimer ».
ARTE, dimanche 6 juin, 18h00
LA UNE, mercredi 9 juin, 22h55
LA UNE, samedi 12 juin, 14h10
LA UNE, dimanche 13 juin, 10h00
LA UNE, jeudi 17 juin, 24h10
LE DOC DE TOUT LE BAZ’ART
« Parolier » de Rachel Marino
417 chansons d’amour, 18 cahiers de paroles, 49 années de carrière, un paquet de disques d’or, une victoire à l’Eurovision, mais de qui s’agit-il ? Qui connaît Rosario Marino, immigré italien, ouvrier sidérurgiste, qui a quitté l’usine pour vivre de sa plume. Aujourd’hui, Frédéric François et Sandra Kim brillent toujours sur scène. Le premier a enchaîné les numéros un au hit-parade ; la seconde a gagné, en 1986, l’Eurovision. Mais, que seraient ces success-stories sans celui qui se cache derrière ces tubes légendaires ? Sans celui qui a passé des heures à écrire ces caressantes et bondissantes paroles ? Lui, c’est Rosario Marino. Profession : parolier. Sa fille, la graphiste et réalisatrice Rachel Marino, avec brio et tendresse, dresse le portrait et s’amuse des tics de ce souriant bonhomme, son père, à la carrière exceptionnelle.
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